L'homéopathie électronique, aussi connue sous le nom d’IC, est de l'eau (ou d'autres vecteurs) imprégnée d'informations électromagnétiques de substances biologiquement actives et son utilisation comme méthode de traitement alternative s'est révélée très prometteuse. Néanmoins, comme pour l’homéopathie conventionnelle, il y a encore de la controverse autour de cette thérapie. Dans cette publication, nous allons passer en revue un article intitulé “Absorption Spectra of Electronic-Homeopathic Copies of Homeopathic Nosodes and Placebo Have Essential Differences” de V. I. Korenbaum et. al. qui cherche à fournir des données scientifiques objectives, pour illustrer s’il existe une différence entre des échantillons préparés par homéopathie électronique et des placebos.

Les auteurs ont effectué une étude randomisée en double aveugle dans laquelle ils ont observés 7 nosodes homéopathique (i.e. des remèdes homéopathiques préparés à partir d'un échantillon pathologique) qui étaient :

Pour chaque nosode, 9 homéopathie électronique, également appelée IC, des échantillons ont été préparés à l'aide d'une solution saline stérile pour un total de 63 échantillons (Fig. 1). De plus, 27 échantillons de placebo ont été préparés. Les spectres d'absorption des échantillons ont été déterminés en utilisant un spectromètre à double faisceau dans la bande d'onde 800-600 nm à un intervalle de 0,5 nm et les valeurs de densité optique ont été enregistrées.

Pour chaque nosode, 9 échantillons homéopathiques électroniques, aussi connue sous le nom d’IC, ont été préparé en utilisant une solution saline stérile pour un total de 63 échantillons (Fig. 1). En plus, 27 échantillons placebo ont été préparés. Les spectres d'absorption des échantillons ont été déterminés à l'aide d'un spectromètre à double faisceau dans la bande d'onde 800-600 nm à un intervalle de 0,5 nm et les valeurs de densité optique ont été enregistrées.
 

 

Les auteurs ont découvert qu’il y avait en effet un effet observé pour la plupart des échantillons d’IC. D’ailleurs, l’IC de Manus, l’ADN-tox IC et le métal toxique IC ont tous montré des différences spectrales statistiquement significatives dans la bande de 800-700 nm dans au moins 4 régions du spectre par rapport au placebo. En ce qui concerne les IC des autres échantillons, les IC de bactéries et l'IC d’acide vanillylmandélique différaient significativement dans une seule des régions spectrales par rapport au placebo et pour l’IC de champignon et l’IC de virus, il n'y avait pas de différence observée. De plus, aucune différence significative n'a été observée entre les spectres pour les 27 échantillons de placebo. 
 

 

 

 

Bien que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pourquoi certains échantillons d’IC ont montrés une différence par rapport aux placebos et d’autres pas, les données présentées par Korenbaum et. al. apportent, malgré tout, des preuves scientifiques illustrant qu’il y a bien une différence entre les remèdes homéopathiques électroniques et les placebos, soutenant ainsi l'utilisation de remèdes homéopathiques électroniques, et donc d'IC, comme forme de thérapie alternative/complémentaire. 

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